Les vacances du Ciné-club, partie n°3

Les films du Chat Roux

Changement de cap pour ce troisième numéro des vacances du Ciné-club avec trois magnifiques comédies dramatiques. Car, le cinéma comme la vie. C’est des instants de joies  et de bonheur. Mais aussi des peines et des moments de grande souffrance.

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Voilà déjà le milieu de cette belle période estivale. Les vacances sont propices à l’introspection. Nous avons donc sélectionné trois films qui offrent matière à réflexion pour occuper vos pensées cinématographiquement.
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Chasseur blanc, cœur noir.

Un des premiers articles parus dans notre rubrique Ciné-club vous présentait un très beau film. Resté injustement méconnu du grand public et réalisé par le grand Clint Dirty Harry lui-même. Le comédien amorçait alors un tournant dans sa longue carrière de cinéaste. En 1990, il revêtait la casquette d’acteur-réalisateur et tournait « Chasseur Blanc, cœur noir ». Une œuvre inspirée par le tournage du film « Africa Queen« , où le réalisateur commençait à s’intéresser de près à la complexité et la richesse des émotions humaines. À voir absolument pour tous les fans de Clint Eastwood qui ne l’aurait pas encore fait.

Le tombeau des lucioles.

Après l’Afrique, nous vous avons emmenés au pays du soleil levant. Alors qu’en France les écrans de télé étaient envahis par les mangas, au Japon, deux maîtres du cinéma d’animation japonais Isao Takahata et Hayao Miyazaki  créaient le Studio Ghibli. Et, en 1988, pendant que Miyazaki réalisait « Mon voisin Totoro », Takahata se consacrait à la réalisation d’un film sublime « Le Tombeau des Lucioles ». Une œuvre poignante et incontournable tirée d’une histoire vraie sur les conséquences de la guerre pour les populations civiles. Si vous ne devez regarder même qu’une fois dans votre vie ce film dur et magnifique à la fois, ne passez pas à côté. À réserver aux plus grands.

 

Birdy.

Direction maintenant les Etats-Unis, où en 1985, Alan Parker nous entraînait avec « Birdy ». Une magnifique histoire d’amitié ayant pour toile de fond les dégâts psychologiques infligés par la guerre du Viêtnam. Avec une mise en images brillantes et deux comédiens criants de vérité, « Birdy » a laissé dans nos mémoires de nombreuses images à mi-chemin entre le rêve et la réalité. Ce drame puissant et émouvant, visuellement très réussi, reçut le Grand Prix du Jury  à Cannes. Encore un grand film d’Alan Parker.

Bons films et bonnes vacances.

Retrouvez des photos des films sur notre tableau Ciné-Club.

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